Revue Correspondance 1983
Janvier 1983 N°1
Chers amis, bonjour.
Et, comme il n’est jamais trop tard pour bien faire… Nos meilleurs vœux pour 1983.
Eh oui, encore une année qui commence, une année qui sera dans certaine mesures, l’année des changements.
- Elle aura dès numéro sa présentation définitive.
- Sa date de parution va changer (…).
Mais un problème se pose : qui dit revue, dit… articles. Or ma réserve est complètement vide. Plus rien à se mettre sous le clavier. Les scribes seraient-ils comme les héros… fatigués ?
N’avez-vous rien à dire ? Pas de trucs et ficelles dont nous pourrions bénéficier ? Et vous Messieurs les « Nistes », toujours rien à déclarer ?
Mars, mois de l’Assemblée Générale. Renouvellement du comité. C’est aussi pour vous l’occasion de vous exprimer. Alors ne ratez pas l’occasion, venez avec vos idées, suggestions, réclamation(s) etc.…
Et n’oubliez pas une chose : un club ne vit que grâce à ses membres… Donc vous.
Et, comme il n’est jamais trop tard pour bien faire… Nos meilleurs vœux pour 1983.
Eh oui, encore une année qui commence, une année qui sera dans certaine mesures, l’année des changements.
- Elle aura dès numéro sa présentation définitive.
- Sa date de parution va changer (…).
Mais un problème se pose : qui dit revue, dit… articles. Or ma réserve est complètement vide. Plus rien à se mettre sous le clavier. Les scribes seraient-ils comme les héros… fatigués ?
N’avez-vous rien à dire ? Pas de trucs et ficelles dont nous pourrions bénéficier ? Et vous Messieurs les « Nistes », toujours rien à déclarer ?
Mars, mois de l’Assemblée Générale. Renouvellement du comité. C’est aussi pour vous l’occasion de vous exprimer. Alors ne ratez pas l’occasion, venez avec vos idées, suggestions, réclamation(s) etc.…
Et n’oubliez pas une chose : un club ne vit que grâce à ses membres… Donc vous.
avril 1983 N°2
(...)
Il est vrai que les signaleurs sont très peu connus du public, et cela parce qu’ils ne sont pas en relation directe avec celui-ci. Les machinistes, nous savons qu’ils existent, il en faut dans les locomotives. Les gardes pour contrôler les tickets, nous les connaissons, ainsi que le personnel des guichets, les agents d’accueil, les porteurs de bagages, les poseurs de voie, les mécaniciens dans les remises, les électriciens, les chefs de gare, les gardes-barrière et j’en passe. Les signaleurs ne sont pas souvent visibles, je vais vous expliquer en quoi consiste leur travail…
Il est vrai que les signaleurs sont très peu connus du public, et cela parce qu’ils ne sont pas en relation directe avec celui-ci. Les machinistes, nous savons qu’ils existent, il en faut dans les locomotives. Les gardes pour contrôler les tickets, nous les connaissons, ainsi que le personnel des guichets, les agents d’accueil, les porteurs de bagages, les poseurs de voie, les mécaniciens dans les remises, les électriciens, les chefs de gare, les gardes-barrière et j’en passe. Les signaleurs ne sont pas souvent visibles, je vais vous expliquer en quoi consiste leur travail…
Juillet 1983 N°3
Les diodes luminescentes appelées communément LED (Light Emetting Diodes) sont, comme leur nom l’indique, des diodes et non des lampes : elles se comportent donc comme des diodes, elles sont conductrices dans le sens anode-cathode et s’éclairent ; dans l’autre sens, elles sont bloquées le courent ne passe pas et la LED reste éteinte, mais la tension inverse qu’elles peuvent supporter n’est que de quelques dizaines de volts…
Septembre 1983 N°4
Si le titre de notre notice fait état du « premier » type 99 des chemins de fer belges, c’est parce que notre intention n’est pas de nous intéresser ici à la série 501 à 520 de l’ancienne « Compagnie du Nord Belge » construite en 1931_1932 par Cockerill et La Meuse. Ces puissantes locomotives-tender de manœuvre 050, que nous avons pu voir naguère évoluer à, Kinkempois, formèrent le type 99 lorsque la Compagnie du Nord Belge fut reprise par la S.N.C.B. D’abord numérotées 9901 à 9920, elles portèrent ensuite les numéros 99001 à 99020.
Notre propos est d’attirer l’attention sur un type 99 antérieur qui s’inscrivit parmi l’effectif belge au lendemain de la première guerre mondiale lorsque l’Allemagne vaincue dut livrer à l’Etat Belge, à titre de réparation, plus de 2.000 locomotives dites d’Armistices.
Si certaines de ces locomotives natives d’Outre-rhin nous sont familières, telles notamment les types 64 et 81, d’autres le sont moins.
Tel est le cas de la locomotive prussienne T 13…
Notre propos est d’attirer l’attention sur un type 99 antérieur qui s’inscrivit parmi l’effectif belge au lendemain de la première guerre mondiale lorsque l’Allemagne vaincue dut livrer à l’Etat Belge, à titre de réparation, plus de 2.000 locomotives dites d’Armistices.
Si certaines de ces locomotives natives d’Outre-rhin nous sont familières, telles notamment les types 64 et 81, d’autres le sont moins.
Tel est le cas de la locomotive prussienne T 13…
Novembre 1983 N°5
(…)
Au début, le réseau belge se composait, à l’instar de nombreux pays, d’une multitude de compagnies privées. Celles-ci furent reprises petit à petit dès le siècle dernier par les chemins de fer de l’Etat, puis par la SNCB, les deux dernières début 1948, à savoir le Malines-Terneuzen et la Cie de Chimay. Le matériel de traction de ces compagnies étant pratiquement spécifique à chacune, de types peu connus et peu nombreux, donc peu propices à être trouvés en commerce et faisant désormais partie du passé, les seules locomotives reprises par le réseau national furent les machines allemandes allouées à titre de dommage de guerre et les américaines venues boucher les trous occasionnés par l’occupant, complétant ainsi les séries déjà existantes. Seule exception à la règle : le Nord Belge, qui verra ses effectifs repris en très grande partie et dont il sera question plus tard.
Lorsqu’une locomotive arrivait sur le réseau de l’Etat, …
Au début, le réseau belge se composait, à l’instar de nombreux pays, d’une multitude de compagnies privées. Celles-ci furent reprises petit à petit dès le siècle dernier par les chemins de fer de l’Etat, puis par la SNCB, les deux dernières début 1948, à savoir le Malines-Terneuzen et la Cie de Chimay. Le matériel de traction de ces compagnies étant pratiquement spécifique à chacune, de types peu connus et peu nombreux, donc peu propices à être trouvés en commerce et faisant désormais partie du passé, les seules locomotives reprises par le réseau national furent les machines allemandes allouées à titre de dommage de guerre et les américaines venues boucher les trous occasionnés par l’occupant, complétant ainsi les séries déjà existantes. Seule exception à la règle : le Nord Belge, qui verra ses effectifs repris en très grande partie et dont il sera question plus tard.
Lorsqu’une locomotive arrivait sur le réseau de l’Etat, …